Jean d’Ormesson
Tout change. Tout se transforme. Tout s’écroule. Tout reste toujours semblable. Nous ne cessons jamais de rouler entre le bien et le mal, du chagrin à l’espoir et de l’espoir au chagrin, du désir à l’ennui et de l’ennui au désir.
Jean d’Ormesson, Un jour je m’en irai sans en avoir tout dit (Laffont, 2013)
image: Sandro Botticelli, La naissance de Vénus / détail (rivagedeboheme.fr)