Friedrich Hölderlin
Il descend, le jour nouveau, de lointaines hauteurs,
Le matin qui s’est éveillé des crépuscules,
Il rit à l’unanimité, paré et vif,
L’humanité est tendrement pénétrée de joie…
Friedrich Hölderlin, Derniers poèmes (coll. Points Poésie/Seuil, 2013)
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