Jean Damascène
Quand je n’ai pas de livres ou que mes pensées me torturent comme des épines m’empêchant de goûter la lecture, je me rends à l’église qui est l’asile ouvert à toutes les maladies de l’âme. La fraîcheur des peintures attire mon regard, captive ma vue ainsi qu’une riante prairie, et insensiblement porte mon âme à louer Dieu.
Saint Jean Damascène, dans: Daniel-Ange, L’étreinte de feu – L’icône de la Trinité de Roublev (Desclée de Brouwer, 1980)
image: Eglise San Spiridionu, Cargèse / Corse, France (corsicatheque.com)