François Mauriac
Je me rappelle ce dégel de tout mon être sous ton regard, ces émotions jaillissantes, ces sources délivrées. Les gestes les plus ordinaires de tendresse, une main serrée, une fleur gardée dans un livre, tout m’était nouveau, tout m’enchantait.
François Mauriac, Le noeud de vipères, dans: Oeuvres romanesques (coll. Pochothèque/LGF, 1992)