Emile Zola
A la suite de chacune des crises qui m’abattent, c’est comme une jeunesse nouvelle, un printemps dont les promesses de sève me réchauffent et me relèvent le cœur. Cela est tellement vrai, que, après une grosse peine, si je sors dans la rue, au soleil, tout de suite je me remets à aimer, à espérer, à être heureuse. Et l’âge n’a pas de prise sur moi, j’ai la naïveté de vieillir sans m’en apercevoir.
Emile Zola, Les Rougon-Macquart, vol. XVIII : L’Argent (coll. Livre de poche/LGF, 1974)
Susanna Tamaro Chaque fois que tu te sentiras perdue, indécise, pense aux arbres, souviens-toi de leur façon de pousser. Souviens-toi qu’un arbre avec beaucoup de
La prière du Rosaire avec Thérèse de l’Enfant Jésus – III. Les Mystères douloureux 1. L’agonie Alors, du ciel, lui apparut un ange qui le
Nikolaas Sintobin Apprendre à discerner – XVII Les sentiments positifs dans l’intériorité affective renvoient généralement à une orientation qui rapproche de ce que la vraie
Hector Bianciotti Le langage est obstiné, qui allègue constamment que l’on existe en dehors de sa propre chair, alors que l’on n’est plus que la